Synopsis:
« Chrono est un jeune garçon dont les passe-temps consistent à dormir ou à s’entraîner avec son katana en bois. Il vit dans la ville de Truce dans le paisible royaume de Gardia.
Un beau matin de l’an 1 000 a lieu la foire du millénaire, une fête unique en son genre puisqu’elle célèbre les mille ans du royaume. Elle se déroule sur la place de Lynne, nommée en hommage à une ancienne reine de Gardia. Lucca, une amie d’enfance de Chrono, passionnée par les machines, y présente sa dernière invention. Chrono s’y rend comme de nombreux habitants du royaume et y bouscule par mégarde une jeune fille, Marle, faisant tomber son pendentif. Chrono le lui rapporte et les deux jeunes gens font connaissance. Ils se rendent ensuite ensemble au stand de Lucca voir son invention, un téléporteur, qui permet de se déplacer de quelques mètres. Chrono l’essaie et se retrouve téléporté instantanément d’un point à l’autre de la machine. Mais lorsque vient le tour de Marle, le pendentif qu’elle porte se met à réagir étrangement avec l’engin et la jeune fille disparaît dans un vortex. Chrono ramasse alors le pendentif encore présent et décide de partir la secourir. Il se retrouve 400 ans en arrière au Moyen Âge où Marle, qui s’avère être en fait la princesse Marledia, est confondue avec la reine Lynne, disparue, par les habitants. Celle-ci accueille Chrono au château de Gardia avant d’être apparemment effacée du continuum espace-temps. En effet, en prenant la place de son ancêtre, Marle a modifié involontairement le cours de l’histoire et compromis sa propre existence. Chrono part alors à la recherche de la véritable Lynne et avec l’aide de Lucca, qui l’a rejoint entre temps, parvient à la sauver, ramenant Marle parmi eux. Les trois amis retournent alors dans leur époque grâce à un dispositif mis au point par Lucca. Cependant, ils se retrouvent bientôt obligés d’emprunter un nouveau vortex qui les conduit cette fois jusqu’à un futur post-apocalyptique. Ils décideront alors d’essayer de changer le cours de l’histoire, comme ils l’avaient fait au Moyen Âge, pour empêcher le cataclysme de se produire.
L’histoire navigue ensuite entre sept époques et autant de cartes différentes. Les conséquences des changements temporels y sont exploitées, nourrissant une trame narrative d’une grande richesse. Chrono et ses camarades y découvrent un ennemi qu’ils tentent de vaincre: Lavos. Celui-ci semble être lié à l’ensemble de l’histoire de la planète, depuis la Préhistoire jusqu’à un futur lointain. »
Le système de combat, très proche d’un Final Fantasy 6…
Chrono Trigger est un jeu vidéo de type jeu de rôle en tour par tour, développé par Square (Créateurs de la saga Final Fantasy, et aujourd’hui devenu Square Enix , après la fusion avec la société concurente et rival direct Enix, sorti à l’origine sur Super Famicom (la supernes japonaise) le 11 mars 1995 au Japon et le 22 août de la même année en Amérique du Nord. Le scénario du jeu suit un groupe de jeunes aventuriers transportés accidentellement dans le temps, qui, découvrant que le monde court à sa destruction, cherchent les moyens de le sauver.
Le passage du pont, on s’en souviens tous encore!
Au moment de sa sortie, certains aspects de Chrono Trigger sont vus comme révolutionnaires, notamment ses fins multiples, ses quêtes secondaires scénarisées et centrées sur la caractérisation des personnages, son système de combat unique, et ses graphismes détaillés. Il est considéré comme étant l’un des meilleurs jeux de tous les temps, mais aussi l’un des plus durs à cause de son boss de fin…
Notre héros, devant le tribunal…
Sachez qu’il fait partie de mon top RPG de tout les temps, aux côtés des FF6, Grandia, Xenogears, Dragon quest 7 et Secret of Mana…
Vite! Il faut s’enfuir de la prison!
La bande son atteint les limites de ce qui peut être fait à l’époque sur une tel console (jamais jeu n’aura eu sur super famicom autant de musiques et d’effets sonores enregistrés sur une si petite cartouche!), et les mélodies resteront gravés à vie dans vos souvenirs grâce au talent de Mitsuda Yasunori et Matsueda Noriko, deux vétérans de la saga Phare de Square Final Fantasy; l’univers est colorés et varié, avec de somptueux graphismes et Akira Toryama, le papa de Dragonball itself en chara-design (ce qui explique qu’on s’identifie direct grâce aux visuels!) nous offre une somptueuse palette de Héros et de monstres.
Le scénario (à rebondissement multiples tout comme les fins possibles au nombre de 27!) vous plongera dans une aventure longue et palpitante, probablement l’une des plus longues jamais joués!
Et pour rappel, les versions DS et PS1 (dans la compilation Final Fantasy Anthology) bénéficient de séquences supplémentaires en vidéos intégrés durant de jeu de plusieurs minutes!
A vos manettes les gars!
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