Cette année encore, SpiritGamer a fait un petit tour par le salon parisien de la Paris Games Week. Tout d’abord toute l’équipe de SpiritGamer tient à remercier sincèrement les équipes de Koch Media avec qui nous avons passé une majeure partie de la journée du samedi pour leur accueil chaleureux, leur disponibilité et leur gentillesse.
Le calme avant la tempête
Une fois de plus la Paris Games Week a fait salle comble. Même si l’organisation semble bien meilleure que lors de mon passage il y a 3-4 ans, il n’en reste pas moins que le salon n’arrive pas à gérer correctement cet afflux massif de personnes, entre files d’attente interminables, bouchons dans les allées et bousculades, le manque d’organisation se heurte à l’incivilité d’une partie. Passé ce désagrément, ne boudons pas notre plaisir d’être sur le plus grand salon français de jeux vidéo (et juste à côté du salon du chocolat, je dis ça, je dis rien). Dans le hall principal, force est de constater que 4 stands font la loi en terme d’affluence, de show et de bruits.
Si le plus grand est probablement celui de PUBG, comportant deux estrades qui se « font face » (même si en réalité un stand les sépare), le plus impressionnant est celui de Fortnite, véritablement présent pour le show, celui-ci a installé une tyrolienne pour accéder aux postes de jeu. En terme d’interactivité, le stand Ubisoft met tout bonnement le feu grâce à Just Dance et Sony fait le Show sur sa scène centrale. C’est donc dans ce contexte de surenchère que nous arpentons les allées du salon.
Le stand de Microsoft, bien que beaucoup plus discret n’était pourtant pas en reste au niveau intérêt puisque ce dernier possédait des postes de jeux pour Résident Evil 2 Remake, Metro Exodus ou encore Devil May Cry V (dont vous pouvez retrouver nos impressions ici). En face du Stand Sony se tenait un stand Namco Bandai où l’on pouvait tester, entre autres, Jump Force et un stand Nintendo sur lequel nous avons pu tester deux combats sur le prochain Super Smash Bros. Mais l’un des stands qui a été pris d’assaut dès l’ouverture était celui de Square Enix. Certes ils présentaient des news sur Just Cause 4, certes ils proposaient de tester Shadow of the Tomb Raider (qui est d’ailleurs disponible dans la boutique de notre partenaire ici) mais qui nous a surtout permis de poser nos mains sur deux niveaux de Kingdom Hearts III.
Nous sommes ensuite allé à la découverte des dinosaures du jeu Ark Park pour vous donner nos impressions. Puis ce fut le temps de la détente et de la reconnaissance avec notre record sur Let’s Sing 2019 (dont notre test est disponible ici). Nous avons ensuite pu mettre les mains sur Team Sonic Racing et nous vous expliquons pourquoi il est reporté. Enfin, avant de se lancer à la conquête de Metro Exodus , nous avons fait un détour par les déhanchements de Joker et de Ann sur Persona 5 dancing in Sunlight et Persona 3 dancing in Moonlight. Une dernière session sur Ace Combat 7 marque notre envol du Hall principal de cette Paris Games Week 2018.
Enfin, le salon est aussi le moment de faire un bilan sur le jeu vidéo en France et sachez que la Paris Games Week comporte aussi des « à côtés » un peu en marge du bruit et de l’agitation. On aura ainsi pu faire un tour d’horizon des écoles de formation du métier du jeux vidéo, un stand de l’UCPA où vous pouviez faire du BMX sur un petit parcours, une espèce de Karting aussi. De nombreuses boutiques étaient présentes aussi, avec entre autres nos amis de 404 éditions ou bien encore Urban Comics (je trouve toujours leur bouquin d’une qualité affolante et je suis fan de ce style graphique). Pour finir ce tour d’horizon, nous voulions mettre en avant deux sujets qui nous semblent important chez SpiritGamer, il s’agit de deux associations (elles ne sont pas les seules, mais nous avons choisi ces deux là pour illustrer nos propos) qui œuvrent pour l’égalité dans notre loisir.
Il y avait tout d’abord « Women in games » qui œuvre à promouvoir la mixité dans le jeu vidéo par des offres d’emploi, des conférences et de la communication. Leur message est que les femmes ont quelque chose à apporter au milieu, un autre point de vue, complémentaire et tout aussi valable et que ce milieu n’est pas réservé aux hommes. Enfin, l’association CapGame qui œuvre pour une meilleure intégration du handicap à tous les niveaux, que ce soit dans le développement des jeux, dans l’organisation de tournois e-sport ou encore dans la conception d’astuces pour faciliter la prise en main des jeux vidéo pour les personnes souffrant de Handicap.
Le stand UCPA de la PGW 2018
Ainsi se referme la page Paris Games Week 2018 pour SpiritGamer, on se donne rendez vous l’année prochaine surement et peut être, qui sait, pour d’autres rendez vous d’ici là.
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