Depuis plusieurs jours, des problèmes de connexion apparaissent sur l’ensemble des jeux d’Ubisoft suite aux attaques DDoS sur leurs serveurs.
Le jeudi 12 juillet, des joueurs de PlayStation 4 ont eu du mal à se connecter au serveur d’Ubisoft. L’éditeur c’est vite rendu compte du problème et a sans doute décidé de redémarrer leurs serveurs. 2 jours plus tard, le samedi 14 juillet, les problèmes de mise en relation et de connectivité ont de nouveau eu lieu et signalés dans tous les jeux de l’éditeur sur toutes les plateformes. Ubisoft a annoncé sur leur compte twitter, qu’ils enquêtaient sur une attaque DDoS sur leurs serveurs. On ignore si les problèmes de connexion aux serveurs et de latence ayant affecté de façon continue Far Cry 5, Rainbow Six Siege, For Honor, Ghost Recon Wildlands et Steep au cours de ces dernières années étaient dus aux attaques DDoS.
We’re currently monitoring DDoS attacks impacting Ubisoft services and causing players to be unable to connect to games. The attacks are focused on our games connections and server latency, which we are working on mitigating. Thank you for your patience as we resolve this.
— Ubisoft Support (@UbisoftSupport) July 17, 2018
« Nous subissons actuellement des attaques DDOS ayant un impact sur les services Ubisoft et empêche les joueurs de se connecter aux jeux. les attaques sont concentrées sur nos connexions aux jeux et la latence du serveur, que nous travaillons à atténuer. Merci de votre patience pour résoudre ce problème » Ubisoft Support
Ces problèmes surviennent peu après le durcissement des règles dans Rainbow Six Siege. En effet, certains joueurs ont déclaré avoir été bannis en raison de l’utilisation d’insultes raciales sur le tchat du jeu. La première infraction entraîne une interdiction de jeu durant 30 minutes tandis que la deuxième et troisième empêchent ces personnes de jouer durant deux heures. Si les joueurs continuent d’utiliser des insulte raciales ou sous-entendues raciales comme nibba, l’équipe enquête sur le compte d’utilisateur et peut distribuer une interdiction permanente en fonction de la gravité. Cela n’est peut-être qu’une simple coïncidence.
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