Créez votre hôtel de A à Z (jusqu’à la moquette trop voyante)
On commence avec un terrain vierge, et on dessine. Chambres, spas, piscines, restaurants, ascenseurs, toilettes pour VIP… tout est à votre disposition, avec un niveau de personnalisation qui frôle l’obsession décorative. Le système de construction est intuitif, bien pensé, et diablement addictif. Si vous aimez perdre une heure à aligner des plantes vertes dans un hall d’entrée, ce jeu est fait pour vous.
- Le personnel : source de performance… et de migraine
Chaque membre du staff a des compétences spécifiques : certains sont d’excellents réceptionnistes, d’autres ont la délicatesse d’un crapaud. Il faudra recruter, former, licencier (parfois avec joie), jongler avec les horaires et gérer les petites crises internes. Entre les absences imprévues et les burn-out, vous allez vite comprendre que l’hôtellerie, c’est pas du gâteau.
- Des clients jamais contents (ou parfois morts)
Votre clientèle est variée : familles, hommes d’affaires, touristes paumés… chacun avec ses attentes et son niveau de tolérance au bruit ou à la mauvaise déco. Ils laissent des critiques qui influencent votre réputation, et parfois, ils voient des choses que vous ne voyez pas. Oui, certaines chambres sont hantées. Non, ce n’est pas une option déco.
- Le chaos du quotidien : imprévus en rafale
Comme si gérer les plaintes ne suffisait pas, le jeu balance des événements aléatoires : pannes, incendies, accidents, et… fantômes. Ces événements viennent casser la routine et ajouter une petite touche de panique parfaitement jouissive. Et honnêtement, on s’attache à cette part de chaos.
Campagne ou bac à sable : choisissez votre poison
Deux modes sont proposés :
- Une campagne scénarisée, pour les joueurs qui aiment les objectifs progressifs et les défis corsés.
- Un mode bac à sable, pour les créateurs dans l’âme qui veulent juste construire le Waldorf Astoria sur un volcan actif sans se faire juger.
Entre génie du gameplay et gestion de la folie.
YakudarkHotel Architect réussit là où beaucoup échouent : rendre la gestion amusante, imprévisible, et attachante. C’est un jeu qui vous pousse à tout contrôler, tout optimiser, tout décorer - jusqu’à ce qu’un esprit frappeur vienne tout ruiner. Et vous adorerez ça.
Si vous cherchez un jeu de simulation qui vous challenge sans vous noyer sous les menus, et que vous aimez les expériences un peu absurdes, foncez. Juste… ne réservez pas la chambre 237. Faites-moi confiance.