Partagez :
   Temps de lecture :  2 minutes

AOC CQ32G4VE : les caractéristiques techniques

AOC nous a fourni plusieurs tests ces dernières semaines. Après l’Agon AG276FK, qui nous faisait repasser sur une gamme de moniteur plus petite avec un 27 pouces, nous allons de nouveau repartir du côté des écrans incurvés. Découverte de l’écran 32 pouces (enfin 31,5 pour être exact) avec le AOC CQ32G4VE. Voyons ses possibilité et ce qu’il nous propose. Fera-t-il partie de votre prochaine liste d’achat, c’est ce à quoi nous allons tenter de répondre dans les lignes qui viennent.

Pour commencer, attardons nous un peut sur ses principales caractéristiques :

  • Écran technologie Fast VA
  • Rétroéclairage Système W-LED
  • 31,5 pouces(80 cm) / 16:9
  • Temps de réponse 1 ms
  • Résolution maximale : 2560×1440 @180Hz (Display Port), 2560×1440 @144Hz (HDMI)
  • 2 port HDMI 2.0, 1 port DisplayPort 1.4
  • Sortie audio 3,5mm
  • Prix : environ 240€

Si les caractéristiques plus poussées vous intéressent, rendez vous sur le site de AOC pour les décrypter.

Simplicité et rapidité

Rentrons dans le vif du sujet directement. Si vous vous êtes attardés sur les caractéristiques plus haut, et notamment le prix, vous vous rendez vite compte que cet écran incurvé de 32 pouces est probablement l’un des plus abordables du marché. En effet à moins de 300€ pour cette taille de dalle, il n’est pas aisé d’arriver à trouver un moniteur qui parviennent à rentrer dans les bourses les plus modestes.

Bien évidemment vous vous doutez que ce prix s’obtient via quelques sacrifices. Nous allons regarder ensembles si ces sacrifices en valent le coup selon ce que vous attendez d’un écran.

Tout d’abord on remarque l’absence total de hub USB sur cet écran, c’est déjà un premier point qui pourrait vous freiner selon vos besoins de branchements. La plupart des écrans récents proposent désormais entre 2 et 4 ports USB-A, voire parfois même des ports USB-C. Ce ne sera pas le cas ici.

Ensuite vous n’aurez qu’un seul display port et 2 ports HDMI là ou beaucoup des concurrents optent pour 2 ports de chaque. Selon votre carte graphique et votre besoin ça peut également vous freiner. Ensuite ne comptez pas pouvoir faire de réglage de hauteur puisque le pied ne le permet pas. Vous aurez cependant quand même la possibilité de l’incliner en avant ou en arrière selon votre configuration de bureau.

Le CQ32G4VE fait au plus simple et dans le basique. Ici pas de fioriture, vous aurez le strict nécessaire. L’OSD fonctionne à l’aide de plusieurs boutons situés sous l’écran. Ça ne dépaysera pas ceux qui pouvaient encore posséder un écran à l’ancienne avec ce type d’OSD, et finalement c’est très peu gênant une fois qu’on a pris l’habitude.

Cependant, cet écran n’a pas que des défauts (si tant est qu’on puisse vraiment considérer ce choix du constructeur comme tel). La simplicité de l’OSD permet d’avoir un bouton dédié à l’allumage et l’extinction du moniteur. Du coup pas de nécessité de rester appuyé sur le bouton pour éteindre notamment, elle se fait à l’aide d’une simple pression. L’allumage est un poil long avec près d’une dizaine de secondes pour avoir l’image affichée une fois le moniteur allumé.

AOC n’a pas non plus rogné sur son design, puisqu’on reste sur un écran de type borderless sur 3 de ses 4 côtés

L'usage de tous les jours

Je vous parlais du menu OSD qui partait sur du classique à plusieurs bouton. Sachez que vous avez possibilité également de télécharger la suite GMENU qui vous permet de pouvoir changer la plupart des caractéristiques de votre écran depuis le logiciel sans passer par les boutons. Vous pourrez ainsi passer d’un profil préenregistré à un autre d’un simple clic. Changer de résolution, modifier la luminosité et bien d’autres choses directement dans le logiciel.

Pour ce qui est de l’usage courant, l’écran est réactif et affiche de belles couleurs. Les écritures sont propres et nous n’avons pas d’impression d’un effet « buvard ». Pour être plus clair on a pas le sentiment de voir les couleurs baver de partout ou l’écriture être floue ou pas très nette.

Les quelques sessions de jeu que nous avons pu faire sur Like A Dragon : Pirate Yakuza in Hawaï n’ont pas souffert de latences. Le jeu était fluide et l’image propre et nette.

Verdict : simplicité, mais fait le job
8.5/10

Articles liés

VOS AVIS

Il n'y a pas de commentaires pour le moment. Soyez le premier à participer !

DONNEZ-NOUS VOTRE AVIS

SUIVEZ-NOUS SUR LES RÉSEAUX