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The Legend of Zelda : Echoes of Wisdom – La Magie de l’Aventure, Version Enchanteresse

Une trentaine d’heures plongé dans The Legend of Zelda : Echoes of Wisdom nous a révélé bien plus qu’une simple quête à boucler. La vingtaine d’heures nécessaire pour achever l’aventure principale n’a été que le début ; même après avoir libéré Hyrule une fois de plus, l’envie de traquer les derniers secrets et créatures à répliquer nous a retenus. Voilà, peut-être, le plus grand compliment qu’on puisse offrir à un jeu : une expérience qui vous appelle même après la mission accomplie.

Par facilité, appelons ce nouveau chapitre un Zelda « 2D »… mais attention, cette dénomination est quelque peu trompeuse. Bien qu’affichant un point de vue en hauteur classique, les graphismes sont entièrement polygonaux et l’espace de jeu postule les trois dimensions. Ce titre est, en fait, le premier Zelda de haut en bas depuis 2013 (hors remakes ou spin-offs multijoueurs), réalisé en collaboration entre Grezzo et Nintendo. Cerise sur le gâteau : c’est aussi le premier opus où la princesse Zelda est mise au premier plan, sculptant sa propre légende.

L’originalité de Echoes of Wisdom réside dans cette dualité narrative et interactive : chaque changement d’approche pour Zelda correspond à une nouvelle mécanique de jeu. Adieu les élans martiaux de Link ; Zelda, armée de son mode « Épée » (limité par une barre d’énergie), n’imite les mouvements de combat de son homologue masculin que de façon épisodique. Sa force ? La réflexion et l’invocation. Avec Tri, sa fidèle fée assistante, Zelda doit scruter son environnement, tester le terrain et invoquer les bonnes créatures pour chaque situation. Les Répliques, véritables artefacts à collecter et utiliser, deviennent le pivot central de cette aventure.

Pour les initiés de Donjons & Dragons ou Baldur’s Gate, imaginez : là où Link pourrait être vu comme un paladin ou un ranger, Zelda est clairement de la trempe des enchanteurs ou invocateurs. Les fans de stratégie et de réflexion apprécieront la manière dont cette approche plus posée transforme l’expérience de jeu.

Les Pouvoirs de la Princesse Zelda : Une Exploration Innovante dans Echoes of Wisdom

Ce qui distingue véritablement cette nouvelle aventure, ce sont les pouvoirs uniques de la princesse Zelda. Si la disposition des ennemis, la morphologie des territoires et l’architecture des bâtiments rappellent les souvenirs des précédents opus avec Link, c’est l’ensemble des capacités de notre héroïne qui diversifie véritablement l’expérience. S’inspirant des mécaniques de Tears of the Kingdom et Breath of the Wild, ce titre s’inscrit dans une démarche bac à sable, où la créativité du joueur est mise à l’honneur.

La capacité de Zelda à se transformer temporairement en Swordswoman est sans doute la plus prévisible, et peut-être même la moins utilisée en raison de ses limitations. Cependant, d’autres pouvoirs, comme la Synchronisation, élargissent considérablement les possibilités de jeu. Cette mécanique, une version simplifiée d’Ultrahand, permet à la princesse d’établir un lien énergétique avec des éléments spécifiques — que ce soit des rochers ou des coffres — et de les déplacer à sa guise sur la carte.

Un autre pouvoir intrigant est Reverse Sync, qui permet à Zelda de suivre les mouvements d’un objet au lieu de le manipuler directement. Imaginez, par exemple, une araignée sur le mur : avec Sync, elle peut la déplacer ; avec Reverse Sync, elle l’accompagne dans ses déplacements. Ces interactions ajoutent une dimension stratégique à l’exploration, encourageant les joueurs à expérimenter et à penser de manière créative.

La dynamique de mouvement de la princesse est également un atout. En étant totalement analogique, elle s’éloigne des directions canoniques établies, et Zelda peut sauter dès le début de l’aventure. Ce changement offre une exploration plus acrobatique et engageante, introduisant des sections de plateformes qui, bien que simples, sont un peu atypiques pour la série.

Pour couronner le tout, le jeu intègre des zones de vue latérales, rappelant Link’s Awakening, et introduit un système de lock-on (visée assistée), qui fait ses débuts dans cette incarnation 2D. Ce mécanisme, auparavant connu sous le nom de Z-Targeting, s’avère étonnamment utile pour viser non seulement les objets, mais surtout les ennemis. Par exemple, si une Réplique vient de vaincre un monstre, vous pouvez facilement lui indiquer sa prochaine cible en la verrouillant.

Ces innovations en matière de gameplay mettent en lumière le potentiel de la princesse Zelda comme protagoniste, offrant une expérience à la fois fraîche et familière, et laissant présager des possibilités infinies pour les futurs épisodes de la saga.

L’Invocation : Un Élan Créatif dans Echoes of Wisdom

L’élément le plus marquant de The Legend of Zelda: Echoes of Wisdom est sans conteste la mécanique d’invocation. Au début du jeu, Zelda fait la connaissance de Tri, qui lui offre un bâton magique. Ce dernier permet de « copier » et « coller » divers objets et monstres présents dans l’environnement. Bien qu’il ne soit pas possible d’invoquer absolument tout, la gamme d’options reste impressionnante : tous les ennemis, à l’exception des Boss, et divers objets (lits, tabourets, rochers, et même des nuages) peuvent être répliqués.

Pour invoquer un objet, il suffit de s’approcher de lui, d’appuyer sur ZR et de l’ajouter à votre Compendium. Cependant, pour les ennemis, il faudra d’abord les vaincre. Chaque réplique a un « coût » mesuré en petits triangles Tri, qui peuvent être augmentés au fur et à mesure de l’aventure. Ainsi, des objets comme les tabourets peuvent nécessiter presque toute votre énergie au début, mais deviendront plus faciles à invoquer par la suite. En revanche, certains objets peuvent être trop coûteux à ajouter à votre collection, vous obligeant à attendre d’avoir accumulé suffisamment de puissance.

Cette mécanique d’invocation ouvre des possibilités fascinantes. Les répliques constituent une version plus intuitive des véhicules et automates de Tears of the Kingdom, mais sans leur puissance dévastatrice. Echoes of Wisdom encourage l’expérimentation et la créativité tout en posant des limites là où cela est nécessaire. Cela offre un équilibre séduisant entre les énigmes traditionnelles des anciens jeux Zelda et la liberté d’exploration des titres modernes.

Les répliques se divisent principalement en deux catégories : les objets, qui facilitent l’exploration et l’accès à de nouveaux territoires, et les monstres, qui peuvent être sélectionnés selon vos besoins pour combattre des ennemis. Dans des cas brillants, ces deux éléments se rejoignent, comme avec les araignées, qui attaquent lorsqu’elles sont laissées libres mais peuvent être utilisées pour grimper lorsqu’elles sont attachées à un mur grâce à la Synchronisation.

Sur le plan technique, le moteur d’Echoes of Wisdom n’atteint pas le niveau de brillance de Breath of the Wild. Physiquement, certains objets se comportent comme on s’y attend (les pierres coulent, les caisses en bois flottent), mais les réactions chimiques ne semblent pas émerger de manière organique. Au lieu de cela, certains objets sont clairement conçus pour provoquer des réactions spécifiques, ce qui, bien que cela ne soit pas un défaut majeur, montre que l’expérience n’égale pas celle de son prédécesseur.

Cependant, un vrai point faible réside dans la gestion du menu des répliques. Bien que Nintendo et Grezzo aient cherché à éviter le chaos visuel des jeux de rôle occidentaux en optant pour un design plus simple et épuré, ce choix se retourne contre eux lorsque le joueur accumule des dizaines de répliques. La possibilité de trier par critères (les plus utilisés, les plus chers, les plus récents) est appréciable, mais le système reste chaotique et certaines touches du D-Pad, censées faciliter la gestion, demeurent inutilisées.

Cela dit, malgré ces petits défauts, il y a des moments d’une grâce incroyable dans le jeu. Imaginer marcher sur des nuages invoqués un à un, avec la mer de Zoras scintillant en arrière-plan, offre une expérience à la fois magique et mémorable, digne des plus belles épopées de la saga.

Une Nouvelle Aventure à Hyrule : Echoes of Wisdom

The Legend of Zelda: Echoes of Wisdom se démarque non seulement par son gameplay innovant, mais aussi par son approche narrative. Il s’agit, à notre connaissance, du premier opus de la saga à adopter un style graphique similaire à celui du remake de Link’s Awakening, tout en n’étant pas une suite directe. Dans cette aventure, Link et Zelda ne se connaissent pas au départ, ce qui donne un nouveau souffle à leur dynamique.

L’histoire débute dans un Hyrule en proie à des failles mystérieuses qui engloutissent progressivement le pays et ses habitants, y compris notre héros habituel, Link. Alors que tout semble perdu, Zelda parvient à s’échapper et, grâce à l’aide de Tri — une entité féerique visible seulement par certains —, elle acquiert le pouvoir d’éliminer les sinistres tentacules noires qui étendent leur emprise sur les terres d’Hyrule. Parallèlement, elle explore les interstices dimensionnels qui la mènent vers le Monde du Néant.

Au début de l’aventure, Zelda est suspectée d’être responsable des désastres, ce qui l’oblige à agir incognito. Bien que nous ne puissions pas révéler davantage sur l’intrigue, deux éléments notables méritent d’être soulignés. D’abord, avec le retour d’une formule plus traditionnelle, la progression narrative interne fait un come-back bienvenu, un aspect qui manquait cruellement dans les récents chapitres en 3D. Ensuite, bien que l’intrigue ne brille pas par sa profondeur, elle parvient à présenter des personnages attachants, tout en étant accessible aux plus jeunes. De plus, le jeu explore des aspects mythologiques d’Hyrule que l’on n’aurait peut-être pas anticipés au vu de son esthétique visuelle.

Un choix narratif qui peut diviser est celui du silence de Zelda, qui prend la place de Link en tant que protagoniste. Ses paroles ne sont pas retranscrites, ce qui a suscité des avis partagés. Bien que cela ne nous ait pas totalement conquis — notamment dans certaines situations qui restent à l’état de mystère —, cela reste un choix audacieux qui reflète les thèmes d’héritage et de responsabilité au sein de l’univers de Zelda.

Dans l’ensemble, Echoes of Wisdom nous propose une aventure intrigante, qui, tout en s’éloignant des conventions habituelles, réaffirme l’importance des personnages et de leur évolution au sein de la mythologie d’Hyrule.

Hyrule : Un Mélange de Traditions et d’Innovations dans Echoes of Wisdom

Dans The Legend of Zelda: Echoes of Wisdom, Hyrule se présente comme un fascinant hybride, combinant les éléments familiers de A Link to the Past avec les innovations de Breath of the Wild. Ce mélange est particulièrement palpable à travers des références directes et des lieux emblématiques, tout en introduisant de nouvelles zones à explorer. Par exemple, la jungle habitée par les Deku et le Mont Hébra nous rappellent les richesses de l’univers de Zelda, tout en enrichissant cette nouvelle aventure. Le désert de Gerudo, avec ses guerriers intrépides, évoque également les récentes itérations 3D, créant un sentiment de continuité tout en explorant de nouvelles avenues.

La carte d’Hyrule est agréable à parcourir et se distingue par sa liberté d’exploration, un aspect révolutionnaire pour un jeu en 2D. Contrairement aux anciens épisodes, cette carte permet une navigation sans coupures d’écran, et même des escalades verticales inspirées des mécaniques de jeux en monde ouvert. Cela offre aux joueurs la possibilité de s’éloigner des chemins tout tracés et d’explorer des portions entières de la carte en empruntant des chemins alternatifs, ajoutant une dimension ludique passionnante.

Cependant, l’élément climatique, qui a joué un rôle central dans Breath of the Wild, est ici simplifié. Bien que certaines zones présentent des températures extrêmes, la gestion de la température manque de finesse. Le jeu ne propose pas d’indicateur en temps réel des conditions climatiques, se contentant de classer les zones en « trop chaudes », « trop froides » ou « idéales ». De plus, l’alternance jour/nuit, un classique des jeux bidimensionnels, est absente, limitant ainsi le dynamisme de l’environnement.

Bien que ces choix puissent sembler restrictifs, ils n’enlèvent rien à l’expérience globale. Au contraire, ils invitent à la découverte et à l’exploration tout en laissant une marge d’amélioration pour les futures aventures d’Hyrule. En somme, Echoes of Wisdom réussit à allier nostalgie et innovation, tout en laissant entrevoir un potentiel encore inexploité pour enrichir cet univers déjà riche.

Les Répliques et la Nouvelle Ère d'Hyrule dans Echoes of Wisdom

Les Répliques dans The Legend of Zelda: Echoes of Wisdom constituent une innovation ambitieuse, bien qu’il semble peu probable qu’elles soient reprises dans une suite, sauf si le jeu connaît une continuité directe. En revanche, la structure du jeu pourrait bien marquer le début d’une nouvelle ère pour la saga, en osant explorer des territoires que Tears of the Kingdom n’a pas osé franchir. En alliant la formule classique de Zelda, avec sa progression linéaire et ses donjons emblématiques, au concept de monde ouvert, Echoes of Wisdom parvient à créer une expérience inédite. Bien qu’il y ait quelques imperfections, cette hybridation est globalement réussie.

Les donjons, présentés avec une vue latérale, rappellent les anciens, tout en étant enrichis de nouvelles mécaniques. La créativité est encouragée, notamment grâce aux pouvoirs de Synchrony et de Répliques, qui s’inscrivent dans une approche sandbox. Bien que ces capacités ne permettent pas de contourner des sections entières ou de résoudre des énigmes de manière totalement imprévisible, elles offrent suffisamment de profondeur pour laisser place à l’imagination du joueur, que ce soit en exploration, en combat ou dans la résolution d’énigmes.

Dès le début de l’aventure, les joueurs ont la liberté d’explorer presque tout Hyrule, en choisissant d’ignorer la mission principale. Toutefois, cette liberté présente une incohérence : certaines missions principales ne s’activent qu’après avoir complété d’autres, ce qui peut conduire à des situations peu engageantes si l’on tente de progresser trop rapidement.

Les donjons eux-mêmes sont riches et complexes, avec plusieurs niveaux et des mécanismes de progression narrative bien intégrés. Bien que l’ordre de leur exploration soit relativement libre, il existe des échelons qui limitent partiellement cette liberté. Les donjons se distinguent par leur conception interconnectée, où les joueurs doivent naviguer habilement entre les pièces. La présence de Boss et de Miniboss, ainsi que de cartes et de petites clés, rappelle l’héritage de la série.

Cependant, un aspect notoire manque : l’objet du donjon traditionnel, qui jouait un rôle central dans la gestion des donjons. Si les Répliques peuvent être collectées à l’intérieur, elles ne remplacent pas la sensation de progression liée à la collecte d’un objet spécifique.

Enfin, le monde ouvert est enrichi par des zones optionnelles à explorer à tout moment, même si leur nombre pourrait être accru. Les missions secondaires, bien que nombreuses, manquent parfois de profondeur, mais quelques grottes et temples offrent des récompenses pour ceux qui prennent le temps d’explorer. Cette combinaison d’éléments classiques et d’innovations dans Echoes of Wisdom souligne une volonté de renouveler l’expérience tout en rendant hommage à l’héritage de la saga.

Des Limitations Techniques et une Direction Artistique Charmante dans Echoes of Wisdom

L’un des principaux défauts de The Legend of Zelda: Echoes of Wisdom réside dans son framerate, un problème particulièrement frappant en mode téléviseur. Dans les zones ouvertes, en dehors des donjons et des bâtiments, le framerate semble se dérober à chaque instant, oscillant de manière désagréable. Étonnamment, même lors de scènes très chargées, comme lorsqu’on évoque plusieurs créatures ou que l’on met le feu à des buissons enflammés par des Zols de Feu, la performance ne semble pas vraiment dégradée. Cela indique probablement une limitation inhérente au moteur de jeu, un souci déjà remarqué dans le remake de Link’s Awakening, que Grezzo n’a apparemment pas pu corriger.

Visuellement, Echoes of Wisdom réussit à séduire par son style graphique. Bien que ce ne soit pas le plus original de la franchise, il rappelle fortement le charme du remake de Link’s Awakening, avec des graphismes évoquant un monde en pâte à modeler. Les personnages ont ce côté kawaii qui plaît aux fans, même si l’eau, à l’aspect un peu trop fluide, ressemble davantage à un tube de détrempe qu’à une rivière animée. Une petite critique pourrait être faite quant au fait que ce style, bien que plaisant, ne s’éloigne pas suffisamment des conventions établies par les précédentes itérations, offrant ainsi une continuité visuelle plus qu’une véritable innovation.

En revanche, la composante sonore s’impose comme un point fort indiscutable du jeu. Les mélodies et les effets sonores de Echoes of Wisdom surpassent largement l’aspect graphique. Associés aux personnages familiers de Tears of the Kingdom, les thèmes musicaux sont variés et raffinés, avec chaque région et peuple ayant son propre ensemble d’instruments. Cette attention portée aux détails musicaux vise davantage la profondeur émotionnelle que l’impact immédiat, bien que le thème principal conserve son pouvoir d’attraction.

En somme, bien que Echoes of Wisdom se heurte à des défis techniques, il compense largement ces lacunes par un style visuel charmant et une bande-son remarquable, créant une expérience qui, malgré ses imperfections, demeure séduisante pour les fans de la série.

NOTRE AVIS

18
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Echoes of Wisdom est ce petit bijou imparfait mais attachant de la franchise Zelda. Dès l’ouverture de son menu chaotique, on comprend que l’ordre n’est pas le fort de cet opus. Quant au monde ouvert – s’il se veut audacieux pour un Zelda 2D – il manque cruellement de vie, certaines régions clés étant aussi désertes qu’un donjon au mauvais moment. Mais le hic, c’est ce framerate qui se décompose à l’écran. Sur le téléviseur, les zones ouvertes peinent à maintenir un flux constant, ce qui brise un peu la fluidité de l'aventure. Pourtant, malgré ces failles techniques, cet opus redéfinit presque l’expérience du Zelda 2D en lui insufflant une douceur et une créativité rarement atteintes.
Difficile de ne pas admirer l’ingéniosité des Répliques : ces objets que l’on collectionne avec avidité, s’amusant à les combiner pour découvrir des solutions nouvelles et alternatives. La mécanique rappelle un peu le plaisir d’assemblage d’un Pokémon, chaque Réplique chuchotant des possibilités inédites au joueur et invitant à l’expérimentation. Ici, Zelda ose un équilibre unique entre la liberté absolue du joueur et des mécaniques intuitives. Le tout nous pousse presque à croire qu’un avenir Pokémon-esque pourrait s’ouvrir pour la franchise.
Si le jeu est loin d’être parfait, Echoes of Wisdom s’impose comme une synthèse audacieuse des formules classiques et modernes de la série, donnant naissance à une hybridation courageuse. Cette fusion réussie pourrait bien marquer le début d’une nouvelle ère pour Zelda. Le prochain opus ? Il ferait bien de s’inspirer de cette formule – imparfaite mais brillante – et de voir où ce chemin inédit peut mener la légendaire série.

Yakudark

BONS POINTS

  • Fusion courageuse entre formule classique et monde ouvert
  • Des répliques passionnantes à collectionner et à utiliser
  • Excellents donjons
  • Belle progression, ludique et narrative
  • Excellente musique

MAUVAIS POINTS

  • Certaines zones sont restreintes si elles sont visitées au « mauvais moment »
  • Menu Réponses confuses
  • Framerate fragile, surtout avec Switch dans le Dock

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