Dans Kunitsu-Gami, tu prends les commandes de Soh, un guerrier dont le job est aussi glorieux que difficile : purifier des montagnes entières, village après village, des ténèbres qui ont mis leur chaos dans le jardin de la paix. En gros, c’est un peu comme faire le ménage après une grosse fête, sauf qu’au lieu de bouteilles vides, tu ramasses des monstres et des créatures tordues.
Le jeu nous propose un concept original : un mix entre la défense de tour et l’action, qui se transforme et se développe au fil de plus de vingt heures de stratégie et de combat. On ne s’attendait pas à ça en lançant le jeu : Kunitsu-Gami nous a balancé un produit fini, bourré de contenu et de surprises, plus concret qu’un plan béton pour une maison.
Dès le milieu du jeu, tu te retrouves avec tout un arsenal pour peaufiner ton héros. Non seulement tu débloques de nouveaux types de soldats et des amulettes stylées, mais il y a aussi un arbre de compétences pour Soh. Ce dernier te permet de booster ses talents de combat et ses capacités stratégiques. Et ne t’inquiète pas pour l’ennui, les missions sont un vrai festival de nouveautés : chaque niveau te propose des mécaniques inédites et des défis qui pourraient même faire rougir un boss de fin de jeu.
En résumé, Kunitsu-Gami t’offre une purification de montagnes avec une touche d’originalité et une variété qui ne te fera jamais regretter tes heures de jeu. Pas mal pour un jeu qui commence par un simple nettoyage de printemps !
Dans Kunitsu-Gami, tes journées se passent à accumuler de l’énergie en nettoyant les plantes maléfiques qui ont envahi les niveaux, tout en libérant les villageois de leurs cocons. Oui, c’est un peu comme être un super-héros écolo avec une touche de sauvetage de villageois. Et si tu cherches un petit bonus, le jeu te propose même un mode photo qui est plus discret qu’une mouche dans un cercueil. Un petit clic ici, un petit clic là, et tu as un souvenir visuel de tes exploits.
Mais la gestion de l’énergie est où le jeu commence vraiment à te challenger. Tu pourras la dépenser pour attribuer des rôles militaires aux villageois libérés ou pour tracer le chemin de la prêtresse Yoshiro. Yoshiro, elle danse comme si elle était sur une piste de danse interminable jusqu’à ce qu’elle soit stoppée par Soh ou qu’elle atteigne le portail Torii pour se faire purifier. Malheureusement, tu n’auras jamais assez d’énergie pour accomplir tout ça en une journée. Donc, si tu choisis de faire avancer Yoshiro à fond, tu risques de te retrouver sans soldats pour te défendre et la prêtresse pourrait se retrouver dans une situation aussi inconfortable qu’un danseur de ballet sur un lit de clous.
Au début, la gestion de Yoshiro et les tâches diurnes semblent aussi simples qu’un tutoriel de jeu. Mais rapidement, le jeu te lance des défis de gestion plus complexes. À un moment donné, tu pourras recruter un charpentier qui va devenir ton meilleur ami. Ce dernier pourra restaurer les pièges, réparer les tambours qui luttent contre les malédictions, construire des positions élevées pour les archers et arquebuses, et même consacrer des autels pour ralentir les ennemis.
Chaque tâche prendra du temps, donc il te faudra être stratégique sur ce que tu choisis de construire avant la nuit. Et pour pimenter les choses, certains niveaux te feront passer par des carrefours où il te faudra choisir la meilleure voie pour faire progresser Yoshiro, en tenant compte de l’utilisation de tes pouvoirs de charpentier. N’oublie pas que les structures endommagées pendant la nuit pourront être réparées le lendemain, donc garde bien un œil sur ton chantier.
En gros, Kunitsu-Gami te plonge dans une danse de gestion où chaque choix compte et chaque erreur peut te mener à un désastre. Alors prépare-toi à jongler entre purification et gestion comme un pro !
À un moment donné, la nuit tombera et le maudit portail Torii commencera à vomir ses créatures corrompues comme une soirée arrosée. Prépare-toi à accueillir une invasion de monstres qui te fera regretter de ne pas avoir pris une douche avant le début des hostilités.
Bien que ces invasions ne soient pas quotidiennes, il arrive parfois que tu te retrouves en face-à-face avec un boss dans un duel aussi épique qu’une finale de championnat. Et si tu as suffisamment d’énergie, tu peux même réorganiser tes troupes en pleine bataille. Oui, c’est comme faire du tri dans tes contacts téléphoniques pendant un match de football : stressant mais potentiellement salvateur.
En plus de la possibilité de réassigner les rôles des villageois en cours de combat, tu disposes de deux ordres supplémentaires : envoyer toutes tes milices défendre Yoshiro ou lancer une attaque totale. Chaque unité a un rayon d’action spécifique, qui varie selon leur spécialisation : les rôles de mêlée, comme les lanceurs et les épéistes, préfèrent rester proches, tandis que les archers et les unités avec des balles aquatiques préfèrent garder leurs distances. Les unités magiques, quant à elles, ont souvent un rayon d’action réduit mais peuvent élargir leurs capacités avec le temps.
Les moines, parmi les rôles magiques, sont spécialisés dans le blocage des ennemis et les malédictions, tandis que d’autres se concentrent sur des sorts plus dévastateurs. Au début du jeu, la nuit, tu te contenteras de défendre contre les ennemis qui sortent des Torii maudits. Mais à mesure que tu progresses, plus de portails apparaîtront au hasard, te forçant à défendre plusieurs directions en même temps.
En résumé, la nuit dans Kunitsu-Gami te réserve une série de défis qui te feront tester tes compétences en gestion de troupe et en stratégie, tout en te rappelant que la danse nocturne avec les monstres est loin d’être une promenade de santé.
L’une des grandes innovations de Kunitsu-Gami : Path of the Goddess par rapport à d’autres jeux similaires, c’est Soh, ce ninja métaphysique qui pourrait faire pâlir d’envie les plus grands maîtres d’arts martiaux. Ce n’est pas juste un personnage avec des mouvements stylés, c’est une véritable machine à effacer des hordes d’ennemis tout en jonglant avec des mécanismes de jeu qui te donneront des frissons de satisfaction.
La reconstruction des villages dans le jeu te donnera une dose de satisfaction instantanée, un peu comme recevoir un compliment pour avoir rangé ta chambre. En plus, tu débloqueras des power-ups qui te feront sentir comme si tu devenais de plus en plus puissant à chaque nouvelle amélioration.
Bien sûr, Kunitsu-Gami garde cette touche unique de Capcom qui, franchement, pourrait écrire un manuel complet sur les systèmes de combat. Soh, bien que se battant avec seulement deux boutons (plus un pour parer et un autre pour une esquive – et pour que ça marche, il faut être face au coup), rend le tout tellement satisfaisant qu’il y a un vrai risque que tu oublies le reste du jeu. Et n’oublions pas, la protection de la prêtresse Yoshiro doit toujours être ta priorité, même si Soh semble avoir la capacité de te faire oublier tout le reste.
Soh est immortel, ce qui signifie que même si tu perds toute ton énergie vitale, tu n’es qu’une minute sous forme spirituelle. Dans cet état, tu peux toujours donner des ordres à tes troupes, mais tu ne pourras plus interagir avec les ennemis. Si Yoshiro venait à trépasser, pas de panique ! Les niveaux les plus longs disposent de points de contrôle et te permettent de revoir certains pouvoirs avant de retenter ta chance. En gros, si tu échoues, tu auras toujours une seconde chance pour briller.
En résumé, Kunitsu-Gami te propose une aventure où le ninja métaphysique et la reconstruction des villages se mélangent dans une danse aussi complexe que satisfaisante, te rappelant que même dans l’ombre, il y a toujours une lumière au bout du tunnel.
Dans Kunitsu-Gami, le vrai défi n’est pas tant d’affronter une horde de monstres, mais plutôt de gérer la diversité des créatures démoniaques qui te tombent dessus. L’ennemi n’est pas là en masse, mais il est plutôt un défilé de créatures avec des caractéristiques et des attaques aussi variées qu’une boîte de chocolats.
La beauté envoûtante de Yoshiro, la prêtresse qui donne vie à Soh, nous prépare à affronter une panoplie de démons aussi différents que fascinants. Capcom te mettra face à des démons terrestres et volants, des créatures petites et rapides, ou des mastodontes lents mais gigantesques. Attends-toi aussi à rencontrer des sorcières en kimono qui chantent des sorts aussi désagréables qu’une chanson de Noël en été, et des créatures aériennes qui semblent vouloir te faire regretter ta décision de devenir héros.
Le jeu propose un véritable spectacle, un festival de créatures aussi belles qu’étranges, avec un savoir-faire graphique qui frôle l’artistique. La magie derrière le style visuel de Kunitsu-Gami est que chaque élément a été physiquement créé dans les laboratoires de Capcom avant d’être scanné et transformé en modèle numérique 3D. Et les costumes des personnages ? Ils sont tellement bien rendus et animés qu’on pourrait les croire sortis d’un défilé de mode démoniaque.
Chaque animation dans Kunitsu-Gami est d’un niveau exceptionnel, contribuant à donner au jeu l’apparence d’une montagne vivante que tu devras libérer. C’est comme si le monde du jeu était un modèle à l’échelle qui prend vie sous tes yeux, faisant de chaque affrontement une œuvre d’art en mouvement.
En résumé, Kunitsu-Gami te plonge dans un carrousel époustouflant de démons et de graphismes, te rappelant que dans ce jeu, même les monstres sont là pour te montrer à quel point Capcom maîtrise l’art de la création numérique.
Une fois que tu auras libéré un niveau dans Kunitsu-Gami, tu auras accès au boss final et au village nouvellement purifié. Avec l’aide des habitants du village, tu pourras te lancer dans la reconstruction de ces endroits. C’est comme si, après avoir sauvé le monde, tu devenais le maître d’œuvre et le chef d’équipe pour remettre de l’ordre dans la maison. La reconstruction se résume principalement à des tâches simples que tu confieras à un groupe prédéterminé d’habitants, utilisant parfois le bois que tu as déjà amassé comme une monnaie d’échange.
Bien que Kunitsu-Gami ne soit pas le chef-d’œuvre technique du siècle, il ne se laisse pas impressionner par ses concurrents sur le plan artistique.
Ce n’est pas une corvée ennuyeuse, mais plutôt une belle opportunité pour te détendre entre les niveaux. En plus de restaurer la beauté des lieux, la reconstruction te permet de gagner des ressources et des objets précieux. Tu pourras débloquer divers éléments comme des mouvements spéciaux sous forme de sceaux à équiper quand nécessaire, un « mélange » (ou quelque chose dans ce genre) pour ajouter jusqu’à trois power-ups, des talismans Mazo, et des objets narratifs comme l’EMA qui te plonge dans l’histoire du jeu et de ses créatures. Et bien sûr, tu auras accès à de magnifiques peintures que tu pourras admirer à tout moment pour te rappeler que, même dans un monde de démons, l’art est toujours au rendez-vous.
Dans les villages, tu trouveras aussi la tente de Yoshiro, où tu pourras gérer ton équipement, organiser les rôles des villageois, acheter de nouvelles compétences pour Soh, et offrir des douceurs parfaitement sculptées à la prêtresse. Cette tente est également ton sanctuaire pour sauvegarder ta progression, car même un héros a besoin d’un endroit où se reposer.
En résumé, Kunitsu-Gami te permet de t’offrir une pause bienvenue entre deux batailles, tout en te rappelant que la reconstruction des villages est aussi essentielle que les combats eux-mêmes.
Nous ne vous avons pas révélé tous les secrets de Kunitsu-Gami, comme le fait que chaque niveau a un nombre précis de zones à purifier et qu’en découvrant toutes, vous débloquez de nouvelles améliorations. Nous n’avons pas non plus énuméré tous les rôles que vous pouvez attribuer aux villageois libérés – par exemple, le voleur qui déniche les coffres cachés. Quant aux boss, nous avons choisi de garder le suspense intact (et croyez-nous, c’est une excellente surprise !).
Ne vous inquiétez pas, Kunitsu-Gami n’a pas l’intention de vous laisser tomber sur le plan des ennemis. Le jeu est rempli de nouveautés et de défis, garantissant que l’aventure reste palpitante tout au long de votre périple.
Il y a quelque chose de délicieux dans le fait de découvrir les mystères du jeu par vous-même, sans avoir tout dévoilé d’avance. Kunitsu-Gami offre une progression parfaitement calibrée : les difficultés des ennemis, la complexité des niveaux et la variété tactique augmentent à un rythme idéal. Et juste au moment où vous pensez avoir tout maîtrisé, le jeu vous réserve une nouvelle menace, une faiblesse inédite de Yoshiro, ou un village à libérer qui se transforme en une bataille contre un boss.
Si le jeu devient trop corsé, pas de panique ! Vous pouvez toujours revisiter les niveaux déjà terminés pour relever de nouveaux défis ou essayer de battre un boss dans un délai imparti pour débloquer plus de ressources. Répéter ces séquences est loin d’être une corvée, car chaque fois, vous aurez probablement de nouveaux rôles à attribuer ou de nouveaux pouvoirs pour Soh. Affronter un boss volant avec quatre soldats basiques est une expérience totalement différente de le faire avec un moine et trois arquebuses parfaitement préparées.
En somme, Kunitsu-Gami est un jeu où l’aventure ne cesse de se renouveler, vous offrant toujours de nouveaux défis et surprises pour maintenir votre enthousiasme à son comble.
Techniquement parlant, Kunitsu-Gami n’est pas un dévoreur de polygones. Plutôt que de se lancer dans une course effrénée à la performance brute, Capcom a intelligemment choisi de concentrer ses efforts sur le côté artistique. Résultat : Kunitsu-Gami est jouable presque partout, que ce soit sur PlayStation 4 et 5, Xbox One et Series, PC, ou même le Steam Deck. Capcom a misé sur le visuel pour faire briller le jeu sans avoir besoin de matériel de haute voltige.
Sur les plateformes les plus puissantes, attendez-vous à des graphismes fluides avec 60 FPS fixes. Et pour couronner le tout, Capcom a fait un excellent travail en éliminant les bugs. Après 25 heures de jeu sur PC, nous n’avons rencontré aucun plantage ni problème majeur. Pas une seule fois nous n’avons été forcés de redémarrer un niveau ou le jeu en entier. Bien sûr, nous avons eu quelques bugs bizarres de temps à autre (une vraie joie de revoir les vieux problèmes avec Dragon’s Dogma 2), mais rien de dramatique.
Nous avons eu l’occasion de tester Kunitsu-Gami sur tous les systèmes de contrôle populaires, et nous avons été agréablement surpris par la réactivité de l’interface. Que ce soit avec un contrôleur classique ou avec la souris et le clavier, le jeu fonctionne étonnamment bien. L’interface est conçue avec une agilité remarquable et propose divers raccourcis utiles. Par exemple, lorsque le menu est ouvert pour donner des ordres, le jeu sélectionne automatiquement le soldat le plus proche. Ce sont ces petites touches qui font toute la différence et montrent que Capcom a pensé à rendre l’expérience aussi fluide et intuitive que possible.
En résumé, Kunitsu-Gami prouve qu’un jeu n’a pas besoin d’être un monstre technique pour briller. Avec un design artistique impeccable et une performance solide, Capcom a réussi à créer une expérience à la fois belle et fonctionnelle.
Dans Kunitsu-Gami, comme dans tout bon jeu japonais, Soh est le héros central autour duquel tout gravite. Cela implique certaines limitations, bien sûr. Par exemple, si tu veux envoyer un soldat à l’autre bout du niveau, tu ne peux pas simplement cliquer sur la carte comme dans une vraie stratégie. Non, non, il faut que tu accompagnes ce soldat à chaque étape, jusqu’à ce que sa position finale ne soit qu’à un clic de toi. Pratique, certes, mais parfois, c’est comme essayer de faire du jogging avec un sac de sable sur les épaules.
L’interface du jeu est personnalisable, mais ne t’attends pas à une révolution. Tu peux enlever quelques éléments, mais pas les plus gênants ou redondants. Par exemple, il est peut-être un peu inutile de continuer à voir le message « Recouvrez le village » quand tu es déjà en train de le faire. Tu peux aussi activer l’interface dynamique pour qu’elle apparaisse seulement en cas de besoin, ou la désactiver complètement. Mais aucune de ces options ne nous a vraiment comblés, un peu comme un menu avec trop de choix mais sans surprise.
Quant à l’accompagnement musical et les effets sonores, c’est du haut niveau. Les versets glacés des démons ajoutent une touche épique. Cependant, le mix général du son nous a laissés un peu perplexes. Peut-être que c’est à cause du design graphique un peu miniature, mais le résultat final sonne un peu étouffé. Le haut-parleur interne du DualSense aide à améliorer l’expérience sonore, mais à long terme, une bonne paire d’écouteurs semble être le meilleur choix pour profiter pleinement de la bande sonore.
En somme, Kunitsu-Gami propose une expérience riche et immersive, malgré quelques petites failles dans la gestion de l’interface et du son. Mais ne t’inquiète pas, ces petits détails ne gâchent en rien l’aventure épique qui t’attend.
Kunitsu-Gami est véritablement une petite merveille. Ce genre de jeu qu’on regrette profondément de ne pas voir plus souvent : ceux qui se glissent entre les blockbusters comme des trésors cachés, non pas parce que tout le monde se précipite pour y jouer, mais parce que tout le monde devrait au moins lui rendre hommage.
Dans les niveaux composés de multiples sections, purifier les autels Torii intermédiaires te permettra également de récupérer de l’énergie pour Yoshiro. Un petit bonus qui pourrait bien changer la donne en pleine bataille.
Kunitsu-Gami ne pourrait exister que dans un environnement ultra-créatif, où une équipe audacieuse peut se permettre d’expérimenter et de prendre des risques. Ce n’est pas un hasard si un tel produit émerge des ateliers de Capcom, une maison de logiciels qui, en dépit de quelques ratés, est sur une lancée impressionnante ces dernières années. Avec Kunitsu-Gami, Capcom tente de revigorer le genre des jeux à budget contrôlé mais profondément artistiques. C’est le genre de jeu qui peut donner naissance à une nouvelle série culte, devenir un gymnase pour les nouvelles recrues, ou simplement ravir ceux qui cherchent quelque chose de différent, mais sans avoir besoin de plonger dans des productions bricolées par des étudiants dans un sous-sol.
Le fait qu’un jeu comme Kunitsu-Gami existe est déjà un petit miracle en soi, et le fait qu’il soit aussi brillant en fait un véritable chef-d’œuvre. On ne peut pas demander plus.
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Kunitsu-Gami, c'est un peu comme ce pote qui te promet une soirée tranquille, mais qui finit par te surprendre avec des activités inattendues... sauf que là, c'est bien. L'équipe derrière le jeu a non seulement tenu toutes ses promesses, mais elle a aussi réussi à rendre l'expérience fluide, sans que tu n'aies envie de regarder l'heure toutes les deux minutes. Entre les niveaux qui s'enchaînent comme des épisodes d'une série dont tu es accro, les boss charismatiques qui te donnent du fil à retordre, et les moments de détente pour reconstruire ton cerveau en feu, t'as jamais le temps de t'ennuyer. Ce n'est pas un open world, et franchement, c'est pas plus mal. Pas de grands espaces vides où tu te demandes ce que tu fais de ta vie. Ici, chaque seconde compte : si tu as 30 minutes, tu joues 30 minutes. Pas de "j'ai joué 30 minutes mais j’ai l’impression de n’avoir rien fait". Non, Kunitsu-Gami sait respecter ton planning. Bref, une pépite.
Yakudark