Bienvenue dans la ville de Brighton ! Rejoignez les forces de police de cette ville américaine fictive et vivez le quotidien d’un policier. l est tout à fait vrai que le sentiment de justice résonne en chacun de nous d’une manière ou d’une autre. « Police Simulator: Patrol Officers » offre une opportunité unique d’incarner un policier et de vivre la vie quotidienne de maintenir l’ordre, avec des éléments tels que l’émission d’amendes, la réalisation de contrôles et la gestion d’accidents, simulant ainsi une expérience proche de la réalité. Cependant, quand il s’agit de la manière dont le jeu se présente en tant que produit ludique, il est important d’exprimer des opinions sincères, même si elles pourraient être critiques.
L’objectif du jeu est certainement louable, visant à donner aux joueurs un aperçu des défis et des responsabilités auxquels sont confrontés les agents de police. Cependant, il est tout aussi important d’évaluer comment ces intentions se traduisent réellement dans le gameplay et l’expérience globale. Si vous avez des préoccupations à exprimer à ce sujet, il est essentiel de les partager, car des critiques constructives peuvent contribuer à l’amélioration future du jeu. Les commentaires honnêtes et objectifs sont importants pour aider les développeurs à comprendre les points forts et les lacunes de leur produit, en vue d’apporter des améliorations qui rendront l’expérience plus engageante et authentique pour les joueurs.
Explorons maintenant Police Simulator: Patrol Officers, une tentative de concrétiser la promesse affichée sur la boîte. Nous sommes transportés dans le décor de Brighton, une ville fictive américaine, dans la peau de Frank Miller, une recrue fraîchement intégrée à la police locale. À partir de ce point, nous embrassons le quotidien en nous présentant au travail, jour après jour, planifiant nos horaires, ciblant les délits qui retiennent notre attention, ignorant le reste et plongeant dans le monde qui nous entoure pour en assurer la sécurité. Du moins, c’est le plan initial, car les choses ne se déroulent pas toujours selon cette trame. En réalité, le déroulement est bien souvent bien différent. Cependant, cela ne résulte pas d’un manque d’efforts.
Dans un premier temps, les patrouilles se font à pied, le long des trottoirs d’une portion relativement réduite de Brighton. Dresser des contraventions pour stationnement illégal, appeler des dépanneurs, fournir des informations aux passants… et pas grand-chose d’autre. À partir de là, l’accès à du nouvel équipement, des radars et des véhicules de patrouille, permet une montée en compétence et en envergure, avec l’acquisition d’étoiles d’expérience qui ouvrent progressivement de nouvelles zones.
Cependant, Police Simulator: Patrol Officers peine à bien fonctionner. D’abord, les soucis se manifestent au niveau visuel : environnements anguleux, visages figés, têtes tournantes, mouvements ralentis, ainsi qu’une myriade de problèmes graphiques et de bugs qui surgissent. Mais les ennuis ne s’arrêtent pas là, car tout ceci impacte sérieusement l’expérience de jeu, compromettant même la réalisation des changements que nous cherchons à opérer. Que vous optiez pour le jeu en mode « détendu » ou « simulation », l’un est indéniablement plus plaisant que l’autre, mais même le premier laisse passer presque toutes les infractions tandis que le second semble bien trop rigide en matière d’application des règles.
Le choix entre travailler en équipe ou en solo représente une première décision à prendre dans Police Simulator. Il est appréciable de pouvoir opter pour des plages horaires variées, allant de quinze minutes à des sessions beaucoup plus étendues dans le monde virtuel. À mesure que Brighton se dévoile, une multitude de zones d’intervention s’offre à vous. Quitter le poste de travail et explorer le vaste monde est une tâche relativement simple, bien que parfois l’éclairage dans les intérieurs prenne des allures de stroboscope jamais observé auparavant dans un jeu vidéo. En toute honnêteté, il y a eu des moments où nous avons dû interrompre notre session de Police Simulator: Patrol Officers et nous coucher, tellement les problèmes de luminosité et d’effets stroboscopiques étaient gênants.
D’une manière assez étrange, ces problèmes se dissipent dès que l’on s’éloigne des zones encombrées pour s’aventurer dans les espaces plus ouverts. Cependant, les bogues et les problèmes ne s’effacent jamais totalement. En flânant dans les rues et en traversant les quartiers, nous avons été témoins de voitures se superposant aux feux de signalisation et de piétons que nous avons malheureusement heurtés en quantité plus élevée que souhaitée, ces derniers reprenant leur marche comme si de rien n’était, parfois en marchant directement sur notre véhicule. C’est ici que le mode « casual » prend tout son sens, mais si l’on opte pour un réalisme accru, l’expérience devient tout simplement accablante, chaque problème prenant des proportions considérables.
Même l’appel aux services d’urgence pour les piétons heurtés par des voitures ne produit aucun résultat concret, car les ambulanciers et les victimes semblent à peine se diriger vers l’hôpital. À un moment donné, il y a un accident de voiture, je me tourne vers la première voiture, je constate les faits. Je vais vers la seconde, elle a disparue, je retourne vers la première, disparue aussi !
Les choses tournent tellement mal que nous pourrions facilement passer des heures ici à énumérer les situations étranges que nous avons rencontrées en jouant à Police Simulator. Chaque session de jeu semble faire surgir un nouveau problème. Même lorsque nous pensions avoir tout vu, quelque chose d’inédit surgit : les suspects s’échappant à travers les murs offrent toujours un spectacle distrayant, bien que cela ne facilite en rien la compréhension des statistiques de criminalité. Même en écartant ces problèmes, les fondements mêmes des mécaniques font défaut. Dans Police Simulator: Patrol Officers, quels que soient vos nobles objectifs, votre principale tâche consiste à surveiller les situations qui se déroulent sous vos yeux, en interagissant avec les véhicules, les conducteurs et les citoyens ordinaires qui peuplent Brighton.
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Le concept de base derrière "Police Simulator: Patrol Officers" est indéniablement solide : offrir aux joueurs la possibilité de vivre la vie d'un policier engagé dans la noble quête de maintenir l'ordre dans le monde. Cette idée est attrayante, pleine d'intrigue et d'intérêt, susceptible d'attirer un large public désireux de plonger dans ce rôle unique. Cependant, une fois que l'on dépasse cette prémisse prometteuse, presque tous les autres aspects de "Police Simulator: Patrol Officers" présentent des problèmes. L'une des critiques concerne les fenêtres contextuelles visuelles, qui délimitent des distances ridiculement courtes, parfois même plus courtes que la longueur de votre bras. Cette approche peu réaliste nuit à l'immersion, rendant les interactions avec le monde environnant souvent artificielles et déroutantes. De plus, le jeu souffre de nombreux problèmes liés à la manière dont l'environnement qui vous entoure est géré. Ces problèmes peuvent perturber l'expérience, engendrant une frustration et un sentiment de manque de réalisme. Bien que la prémisse soit solide et prometteuse, les lacunes évidentes dans l'exécution de "Police Simulator: Patrol Officers" limitent sa capacité à offrir une expérience de jeu immersive et satisfaisante. Il est évident que des ajustements et des améliorations sont nécessaires pour transformer cette idée intéressante en une expérience de jeu cohérente et gratifiante.
Yakudark